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s'inscrire dans le paysage

lit de crête

Etude de mouvements - 2005

7 éléments en bois et acier. Dimensions variables

 

Descriptif

Les sept éléments qui compose le « lit de crête » on été déterminés comme le nombre minimum de support nécessaire à la mise en suspension d’un corps allongé dans l’espace, au dessus du sol.

Destiné avant tout à une inscription du corps dans des paysages, chaque élément doit être planté dans le sol en fonction de la taille de l’utilisateur pour soutenir les jambes au niveau du bas du mollet, du bas du dos, du

haut des épaules, des avants bras et de la tête.

Une rondelle d’appui empêche, pour chaque élément, son enfoncement dans la terre, et permet ainsi, de déterminer la hauteur.

lit d'arbre
as you make your bed, so you rise.
comme on fait son lit, on s'élève.
Version 1 : Walpole, Australie - 2001

Version 2 : Beacon Fale, Lancashire, Angleterre 2001

Version 3 : Institut Français de Stuttgart - 2002

Version 4 : Les Environnementales, Técomah, Jouy en Josas - 2006

acier, bois, dimensions variables d'une version à l'autre.

 

Descriptif

Le lit d’arbre est un instrument construit aux dimensions du corps. Il peut être fixé au tronc d’un arbre de 50 à 60 cm de diamètre selon le principe du levier. La présence de l’utilisateur sur le lit entraîne son blocage et donc son équilibre sur l’arbre. L’horizontal est parfaitement réglée avant usage.

L'objectif premier de cette oeuvre est la production d'images d'un corps horizontalement suspendu et relié au tronc d'un arbre.

chaussures d'effleurement

chaussures, acier, bois.

 

Descriptif

Les chaussures d’effleurement sont un dispositif composé d’une paire de chaussures boulonnées sur des semelles de tôle de 14 mm d’épaisseur, elles même équipées au dessous d’un système de serrage permettant la fixation d’une tige d’acier de longueur variable. La profondeur de plantation de la tige est fonction d’une coupelle serrée sur la tige à la position voulue.

Le dispositif se complète de deux longues tiges équipées chacune d’une poignée

elle aussi réglable à la hauteur voulue.

Contrairement à des échasses, l’articulation des chevilles n’est soutenue par le

dispositif, ce qui laisse au corps toutes les possibilités de mouvements mais crée

un véritable risque du fait des efforts auxquels est soumis cette articulation.

 

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